
la confrontation sous séléné Lorsque le neuvième ouverture s’annonça, un soleil timide tenta de provenir la brume matinale, sans très large bonheur. Clairmont-sur-Mer s’éveillait doucement, les rues humides résonnant du passage des premiers travailleurs. Chez Phil Voyance, l'obscurité n’avait pas vécu de tout repos : il avait admis, versification 1h30 matinal, une information obscur émanant du même numéro nouveau que la veille. « La mer reprendra incomparablement ce qui lui appartient. Toi et tes amis, ne vous mêlez pas de ce qui ne vous regarde pas. » Phil avait passé une circonstance à relire ces signaux, songeant à bien alerter la police, évident de bousiller, faute de gage inusable. Au seul matin, il décida de téléphoner à Hubert et Nadège pour se concerter. Tous deux étaient marqué par le choc. Nadège, encore convalescente, confia encore avoir fait un fin où elle se voyait entraînée par-dessous l’eau par une lignes féminine, alors qu’Hubert affirmait l'obtention divulgué un passage étrange dans l’un de ses manuscrits, abordant un “triomphe de la mer” – une fête nocturne censée coincer un pacte entre les gens et l’océan. Malgré l’angoisse qui pesait sur eux, ils convinrent de ne pas pondre aux menaces. Phil se rappela le récit de Marcel : si certains canotiers avaient beau et bien défunt en répondant à bien ce chant, il existait éventuellement un multitude de clients aussitôt un attachement actif. Le filet de ce désir restait obscur : préserver un être marine ? Éviter des ravages climatiques ? Ou simplement se livrer à bien des rites clandestins ? En tout cas, Clarisse, la journaliste, semblait ce geste merveilleux d'obtenir apprécié le brin sur des attributs. Peut-être en avait-elle à l'infini déclaré. Dans l’après-midi, un énoncé de l’agent de police rencontré au commissariat alerta Phil : les recherches officielles n’avaient rien offert. Pas le moindre démonstration sur Clarisse, ni sur la moindre empreinte de lutte ou d’accident. Sa piste s’évaporait. L’agent se montra sceptique quant aux hypothèses de chant sirénique, mais reconnut que la région avait fait l'expérience d’étranges disparitions. « Je vous tiens au courant si on trouve un modèle. » Peu premier plan la tombée de la nuit, Phil se marie avec Hubert et Nadège dans un café simple. Ils échangèrent sur les menaces reçues, sur le charge de Marcel, sur l’éventuelle confrérie. Nadège, hardie nonobstant sa peur, lança : « On n'a pas l'opportunité de pas transfuser tomber. Clarisse est peut-être en devoir, ou prisonnière de ces population. Il il est souhaitable de qu’on retourne attenant à la chapelle, enquêter. On attend la l'ensemble lune pour ça ? Les intentions me hantent n'importe quel nuit, je dois nous guider. » Hubert acquiesça, mais Phil se montra plus réservé. « Les menaces représentent humouristique. On risque de vêtir en expérience. Et si on se retrouvait nez à nez avec celle qui abritent ce secret ? » Cependant, l’envie de la réalité l’emporta sur la prudence. Les trois alliés décidèrent de se fournir ce soir-là autour des falaises, armés de lampes et d’un téléphone chargé à part entière. Nadège promit d'instruire quelqu’un aimée par ses clients ( une collègue de l’office du tourisme ) pour écrire l’alerte en cas de embarras. Hubert apporta un vieil travail où figurait une carte passée de la côte, qui peut inscrire d’éventuelles grottes. Phil, malgré les nœuds au ventre, sentait que ce instant pourrait être primordial. En délicat de lumière, évident de partir, il prit les siècles de combler neuf ou 10 SMS de consultation. Fanny, une lycéenne, craignait de rater ses remarques et de décevoir ses parents. Il la rassura, lui conseillant d’avoir premier ordre en ses connaissances tout en promouvant merveilleusement bien. Un autre ensemble d' informations, de Benjamin, un quadragénaire, confessait sa lassitude doublure son activité professionnelle de lisière. « Je ne vis plus, je survis. À quoi bon ? » Phil voyance par sms 24/24 l’encouragea à bien chercher des moyens, un bilan de compétences ou une reconversion. Malgré l’angoisse de la anniversaire surprise éventuelle, il restait fidèle à bien sa mission d’aide, comme un îlot de durabilité au beau milieu d’une tempête perspicace. La nuit tomba sur Clairmont-sur-Mer. Le trio se retrouva au pied de l'ancienne chapelle, vêtus de looks mauvaises pour partir inaperçus. L’océan, en contrebas, reflétait les parfaites étoiles d’un ciel menaçant. Les rochers, humides, brillaient d’une eclat inquiétant. Ils pénétrèrent dans la chapelle, lampes torches manuellement, constatant que les allégories fabriqués semblaient extrêmement intacts. Hubert sonda le sol à bien la recherche de trappes ou de passages religieux. Nadège, dureté à bien l’aise, jetait des regards nerveux autour d’elle. Phil, par rapport à lui, guettait tout bruit suspect. Après une vingtaine de minutes infructueuses, ils ressortirent sur le promontoire, d’où la banale embrassait la baie. Soudain, Nadège se figea, montrant du peu une donnée net au loin, sur les rochers qui avançaient dans la mer. « Là-bas, vous voyez ? Il y a comme une torche ou une lanterne… » En impact, une petite explication oscillait, distante d’une centaine de mètres, près d’une zone de rochers habituellement inaccessible. Sans se concentrer, ils décidèrent de s’en approcher. La marée était relativement basse, permettant un passage par un bain de soleil. Avançant avec prudence sur le sable humide, ils se glissèrent entre les rochers. Bientôt, ils distinguèrent des voix, ou plutôt des murmures. À la présent d’un repli rocheux, ils se baissèrent pour ficher discrètement la scène. Trois silhouettes encapuchonnées se tenaient autour d’un pluie de camp de plaisir. Au sol, six ou sept crustacés et algues semblaient prêts en cercle. Une des silhouettes chantonnait un air étouffé, tandis qu’une autre murmurait des paroles inaudibles. Au loin, on entendait le ressac de l’eau, et le vent cinglait leurs têtes. Le cœur de Phil battait à bien tout rompre. C’était à ce moment-là correctement réel : un rituel se déroulait sous leurs yeux. Hubert sortit son téléphone pour tenter d’utiliser des vidéo, mais l’obscurité rendait la manœuvre épuisante. Nadège se sentit vaciller, à savoir si l’air s’était fait plus dense. À cet instant, l’une des silhouettes se retourna brusquement, braquant une lampe sur eux. « Qui est là ? » Les trois alliés retinrent leur essence. Découverts, ils n’avaient plus le choix : ils durent se louer, les mains tremblantes. L’homme qui les avait repérés, un faciès partiellement masqué par un capuchon, demanda d’une voix sévère : « Vous n’avez rien à faire ici. Qui vous a accords de décourager notre cérémonie ? » Nadège bafouilla, Hubert restait silencieux, tandis que Phil, troublant son patience à deux tout, déclara : « Nous souhaitons interpréter. Pourquoi ces habitudes, motif les menaces, mobile des individus disparaissent ? » Un ricanement s’éleva des discordants silhouettes. « Vous feriez recommandé de sortir. Vous jouez avec des caractéristiques qui vous dépassent. » Phil insista, le bras tremblant : « Que s’est-il passé avec Clarisse ? Est-elle encore en vie ? » Un long silence accueillit ces mots. Puis, la silhouette qui chantait s’approcha, révélant un visage de femme, grave, résolu. « La mer ne rend pas toujours les personnes qu’elle prend. Vous placez vos pas sur un chemin dangereux. Cessez d'obtenir. » Nadège, choquée, sentit les larmes lui rejoindre aux yeux. Elle tenta de présenter une brimade, mais l’un des encapuchonnés siffla un ordre bref, et tous éteignirent leurs lampes évident de s'amenuiser dans l’ombre, à savoir happés par l'obscurité. Le gerbe de camp s’éteignit en un moment, et les vagues redémarrer leur chant têtu. Les trois alliés demeurèrent à bannir, secoués par cette confrontation. S’agissait-il incontestablement du “cercle” ou de la “confrérie” qu’ils soupçonnaient ? Que signifiait la intimidation implicite sur Clarisse ? Dans le engloutir, seules les pulsations de leurs cœurs téméraires résonnaient encore. Finalement, Hubert murmura : « Filons d’ici. Ils seraient en capacité de être en convalescence en plus large nombre. » Ils rebroussèrent chemin, le entendement court, évitant de véridicité un rocher glissant. Parvenus sur prendre le soleil, Phil se retourna une dernière fois : plus zéro aurore, plus aucun signifiant de tenue. Seules les vagues frappaient la grève, indifférentes. Il se rendit compte alors que cette confrontation n’avait fait que valider l’existence d’un béguin en synergie, prêt à bien tout pour porter ses mystiques. À utilisé, plus que jamais, il percevait la gravité de la situation. Une fois revenus sur la rue, tous prirent leurs distances pour regagner leurs domiciles respectifs. Il fallait digérer cette scène. Phil, encore bouleversé, ne put s’empêcher de penser à Clarisse, à la possibilité qu’elle soit tombée entre les clavier de ces masse. Et Nadège, la binette blême, ne cacha pas son malaise. Au milieu des réponses de voyance qu’il prodiguait journalierement, Phil venait de renverser dans une fable bien plus foncé et dangereux que tout ce qu’il avait pu étudier. La nuit tomba pour le restant de nos jours, scellant ce neuvième quantième. Au loin, l’océan rugissait, allongeant écho au confusion intérieur qui étreignait leurs âmes.